Associations de la PA/Animal Cross

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Animal Cross est le nom d'une association de défense des animaux. Elle est à l'initiative d'un projet de loi publié le 30 juin 2020.

Découvrons ensemble les mécanismes de cette action de lobbying.

Tout commence en 2013, alors qu'une ancienne secrétaire médicale à la retraitée se découvre des airs de justicière. Elle a prit le surnom d'Aline.

Pendant plus d'un an, elle va écumer les sites qui ont un espace dédié à la zoophilie : les forums, les sites de petites annonces... Je la cite : "J'ai décidé de les harponner en passant des petites annonces sur les sites spécialisés".

Pendant plus d'un an, elle va archiver toutes ces annonces, elle va chercher à obtenir un maximum d'informations sur les zoophiles avec qui elle rentre en contact, et, pour certains, aidée par la SPA, va poursuivre certaines personnes en justice.

Mais cela n'est pas assez à son goût. Pendant les années suivante, elle va aller toquer à la porte de plusieurs associations animalière, qui ne prêtent pas attention à cette retraitée du style folle aux chats.

C'est en 2019 qu'elle trouve une oreille attentive auprès du président de l'association Animal Cross, Benoit Thomé, qui voit là une opportunité de faire le buzz.

Benoit Thomé sera la pierre angulaire de cette action de lobby. Son activité professionnelle (https://viadeo.journaldunet.com/p/benoit-thome-1112618) et sa formation (HEC) lui ont donné les capacités requises pour l'action de lobbying qui nous intéresse.

Il va partir à la chasse de personnes qui pourront l'aider dans sa quête. Il part donc avec Aline, et va trouver en chemin : - Baron Marjolaine, vétérinaire, auteur d'une thèse en 2017, à charge contre la zoophilie. Cette thèse aura sa propre analyse sur ce wiki dans quelques temps. Pour l'argument d'autorité. - Devidal Garompolo, avocate et conseil juridique de la Voix de l'enfant. Pour une pincée d’amalgame avec la pédophilie. - Dimitri Houbron, député LREM du Nord : https://www.nosdeputes.fr/dimitri-houbron . Il est très jeune, né en 1991.

On a là une belle équipe, une belle synergie, que pas grand chose ne pourra arréter.

Après plusieurs mois de travail, leurs conclusions seront publiées lors d'une conférence publique le 5 février 2020. Le PDF sera rendu publique quelques jours plus tard, via la page https://www.animal-cross.org/zoophilie/

Préalable aux conclusions[modifier | modifier le wikicode]

Nous allons tenter ici d'être le plus objectif possible, et de n'apporter un contre argumentaire minimum. L'analyse de ces arguments se feront à la fin de cet article.


Conclusions de l'étude d'Animal Cross[modifier | modifier le wikicode]

Voici les points forts de ces conclusions qui implique plusieurs contributeurs :

Benoit Thomoé[modifier | modifier le wikicode]

Benoit Thomoé estime le nombre de zoophiles en France via l'estimation du nombre de visiteurs sur les sites proposant des vidéos zoophiles. Pour lui, il y a plusieurs stades d'approche de la zoophilie :

  • 1er niveau - le fantasme, le voyeurisme, la pornographie
  • 2è niveau - Attouchements (zoophile tactile)
  • 3è niveau - Relations sexuelles
  • 4è niveau - Zoosadisme

Et, je le cite : "Dès le premier niveau on parle de zoophilie, le fait de regarder du porno zoo c'est déjà de la zoophilie".

Il estime à environs 20.000 le nombre de zoophiles en France, via un outil d'analyse qu'il utilise dans sa société d'études de marché : Simularweb.

En tant que fin communicant, il n'hésite pas, lors de la conférence publiques de février, à faire la démonstration en live : il va sur Google, tape 3 mots clefs, et démontre avec quelle aisance on a accès au contenu zoophile en ligne.

Benoit Thomoé conclue donc que :

  • Les vidéos zoophiles sont accessibles librement sur Internet
  • Il y a des millions de connexions sur les sites de diffusions de vidéos zoo-pornographiques, ce qui donne une idée du nombre de personnes qui consomment ce genre de contenu en France
  • Le fait de regarder du porno zoo, c'est déjà de la zoophilie : il estime donc à environs 20.000 le nombre de zoophiles en France
  • Il y a des communautés virtuelles sur Internet qui permet aux zoophiles de se retrouver ensembles
  • "même si on renforce la répression, il faut agir avant (...) le plus important, c'est de faire en sorte que la chose ne se fasse pas. C'est de désorganiser la communauté zoophile et de vider internet du contenu zoophile"

On alourdit les sanctions, on restreint les accès aux vidéos, on supprime les lieux de rencontre sur Internet, on pénalise les sites de petite annonces.

Benoit Thomé lance ensuite son premier atout : "Aline", lanceuse d'alerte, la cinquantaine, ancienne secrétaire médicale.

Aline, lanceuse d'alerte[modifier | modifier le wikicode]

Celle ci va narrer le récit de ses recherches, pourquoi elle a commencé, sa méthode de travail, ce qu'elle a obtenue.

Baron Marjolaine[modifier | modifier le wikicode]

Benoit Thomé sort ensuite l'argument d'autorité : Baron Marjolaine, Vétérinaire.

Elle s'est intéressée à la zoophilie lors de ses études à l'école nationale vétérinaire de Toulouse et a sortie sa thèse en 2017, intitulée La zoophilie dans la société : Quelle place le vétérinaire peut il prendre dans sa répression ?" (https://oatao.univ-toulouse.fr/17919/1/Baron_17919.pdf) suite à la découvert de Michael Kiok, président de l'association allemande Zeta-Verein : https://www.zeta-verein.de/en/

Comme le nom le laisse présentir, c'est une étude à charge contre la zoophilie. On y retrouve un peu de tout :

  • La complexité de la définition de la zoophilie : un tabou entre émotion, crime et

pathologie psychiatrique.

  • troubles associés aux paraphilies
  • Le rôle d'internet dans la diffusion de la zoophilie
  • De la simple soumission de l'animal à sa mort.
  • La question du consentement animal
  • La zoophilie et les violences interhumaines
  • La zoophilie et la santé des humains
  • L'article 521-1 et la lacune concernant la détention, production et diffusion de vidéos

pornographiques à caractère zoophile

  • Pourquoi la communauté scientifique doit-elle prendre conscience de ce

phénomène

  • Indices permettant de suspecter un cas de zoophilie
  • La marche à suivre lors de découverte d'un cas de zoophilie

Passage au titre aguicheur : La question du consentement animal

La question du consentement animal soulève des réactions vives et moralisatrices de la part de
la société lorsqu'il s'agit de plaisir sexuel. Cette notion dévoile d'autres points à éclaircir, sur
lesquels de nombreux zoophiles rebondissent : pourquoi autorise-t-on certaines pratiques
d'élevage ? Alors qu'il est couramment admis que faire souffrir ou tuer un animal constitue un
abus, pourquoi la notion de consentement ne réveille-t-elle pas les consciences lors de
l'utilisation d'animaux pour le bien de la société (alimentation, expérimentation animale) ?
Malgré le point de vue anthropocentrique de la société, ces considérations ne devraient pas
être négligées selon certains auteurs [4] [12]. Nous pensons que ces questions sont
pertinentes, mais qu'elles sont hors-propos.
Elles sont destinées à induire en erreur en détournant la polémique du sujet de la zoophilie.

Un des arguments majeurs de ce débat est donc simplement rejeté sans argument.

Devidal Garompolo[modifier | modifier le wikicode]

Benoit Thomé le sait très bien : lorsqu'on veut s'assurer l'adhésion, on arrive avec des idées chocs (démonstration live sur la recherche de vidéos zoo-pornographiques, enquête en infiltration dans les milieux zoophiles), des arguments d'autorité (vétérinaire), et ensuite il faut que les personnes digèrent ces informations. On en profite donc pour enfoncer le clou en faisant un amalgame bien connue entre zoophilie et pédophilie.

Après un démarrage sur les chapeaux de roues, on prend ici notre respiration : c'est le creux de la démonstration, qui n'est là que pour dig