Blog:2022-09-12
Animal Cross s'apprête à dégainer
C'est principalement grâce aux informations révélées lors d'un meeting sur Telegram par une des personnes interpellées à cause de la plainte contre X de Benoit Thomé, président de l'association Animal Cross, que nous sommes arrivés à cette conclusion.
Lors des interpellations judiciaires, en juin 2021, certains d'entre nous pensaient que Benoit Thomé était de bonne foi sur les motifs de sa plainte.
C'est à dire qu'ils pensaient que Benoit Thomé avait reçu des menaces de mort, et que l'enquête était uniquement basée sur ce motif, et pas du tout sur la zoophilie.
Petit à petit, avec l'accès à l'intégralité du dossier d'instruction, on a commencé à voir les choses autrement : Benoit Thomé a délibérément menti durant ses auditions afin d'incriminer plus facilement les personnes mises en cause et faire d'eux les auteurs des menaces de mort.
Fin 2021, il publie 2 articles sur le site d'Animal Cross et donne une interview pour le site Libération.fr.
- Libération_évoque_la_plainte_dAnimalCross_envers_AnimalZooFrance
- https://www.animal-cross.org/diffamation-menaces-et-menaces-de-mort-pendant-8-mois-envers-lassociation-de-protection-animale-animal-cross-3-personnes-de-la-communaute-zoophile-interpellees/
- https://www.animal-cross.org/diffamation-menaces-et-menaces-de-mort-pendant-8-mois-envers-lassociation-de-protection-animale-animal-cross-3-personnes-de-la-communaute-zoophile-interpelees/
Là, on commence à avoir de sérieux doutes : il fait passer les interpellations pour des preuves de culpabilité :
Ces premières interpellations confirment pour Animal Cross la dangerosité de groupuscules zoophiles qui sont prêts à tout pour assouvir leur déviance sexuelle. Quand on voit ce que ces zoophiles sont prêts à faire endurer à des êtres humains, on imagine la sauvagerie dont ils peuvent faire preuve avec des animaux.
C'est assez curieux, parce qu'il dit à la police "j'ai des doutes sur telle personne !". Donc la police enquête, interpelle, et Benoit Thomé de crier : "Ha vous voyez ! ils ont été interpellés, c'est la preuve que c'est des vilains !".
Pourtant, aucune mise en examen, aucune condamnation suite à ces interpellations.
Donc, les mensonges durant les auditions, plus ces articles à charge, ça commence à faire beaucoup.
Au lendemain des interpellations, tout le monde se posait LA question : est ce que Benoit Thomé, qui a déposé plainte contre X, aura accès aux coordonnées des personnes interpellées ?
Parce que comme tout le monde le sait, autant il n'y a pas grand chose à craindre de la justice parce qu'il n'y a pas de maltraitance sur les animaux, autant il y a tout à craindre de la protection animale, qui n'est pas connue pour respecter la loi (voir la cellule Demeter).
Au final, on apprendra que, oui, Benoit Thomé, partie civile dans cette affaire, a accès à l'intégralité du dossier d'instruction via son avocate, Hélène Thouy.
L'avocat est sensé avoir un rôle de filtre et doit demander l'autorisation au juge d'instruction pour fournir une copie d'une pièce du dossier à son client, Benoit Thomé.
Hélène Thouy est la co-fondratrice du parti animaliste. Elle n'était pas l'avocate de Benoit Thomé au début de la plainte, elle est arrivée au moment où des doutes sur la communauté zoophile sont apparus.
Vu son rôle dans la protection animale, nul doute qu'elle allait fournir des éléments dont elle n'avait pas le droit à Benoit Thomé.
Le dossier d'instruction ne contient d'ailleurs aucune demande de Hélène Thouy pour transmettre à son client Benoit Thomé telle ou telle pièce du dossier. Officiellement, Benoit Thomé ne devrait donc avoir aucune pièce du dossier ...
Pour confirmer qu'il a bien eu accès à des éléments du dossier, fin octobre 2021, Benoit Thomé publie sur son site une copie partielle d'une interview publiée ici, en l'intitulant "portrait d'un zoophile".
Benoit Thomé a tronqué cet interview et a terminé l'article en ajoutant le nom, le prénom et la ville où réside une des personnes interpellées par la police judiciaire en juin 2021.
La personne dont les coordonnées ont été publiées est allée porter plainte à la gendarmerie, et ses coordonnées ont été retirées du site quelques heures après le dépot de plainte.
Cette plainte, déposée début novembre 2021, est toujours en cours, la personne qui a vu ses coordonnées publiées n'a eu aucun retour du Procureur de la République, malgré près de 5 relances en presqu'une année depuis les faits.
Mais cela prouve bien que Hélène Thouy a donné des informations nominatives à Benoit Thomé, qui les a diffusées.
Voilà pour le contexte, et savoir ce que Hélène Thouy et Benoit Thomé ont déjà fait.
Jusqu'à présent, nous pensions que le silence de Benoit Thomé sur cette affaire provenait du fait qu'il n'en avait rien à faire de l'aspect zoophilie et attendait que la justice fasse son travail pour trouver les auteurs des menaces de mort dont il a été la cible.
Et malheureusement, nous avons compris que ce n'était pas le cas, et la réalité est carrément plus alarmante que ce que nous pensions.
Il y a de très fortes probabilité pour que Benoit Thomé lance l'équivalent d'une bombe atomique afin d'attomiser certaines personnes et se couvrir de gloire auprès de la cause animale.
Quand aura lieu l'impact ?
Pour le moment, nous pensions qu'il aurait eu lieu à cette rentrée de septembre. C'est au retour des vacances que chaque association essaie d'exister à travers une enquête "choc".
Un élément du dossier nous laisse à penser que non, et que finalement ce missile sera lancé à la rentrée 2023, surement fin janvier, début février.
Est ce qu'il est possible de s'y préparer ? Non. Je vais vous donner le détail de nos pensée et des faits.
Pour comprendre la gravité de la situation, il faut reprendre au départ. Je ne vais pas revenir sur les menaces, mais Benoit Thomé a eu des doutes sur une personne qui avait assistée à la conférence d'Animal Cross sur la zoophilie en février 2020 et a donné son adresse email à la police judiciaire.
Celle ci a déroulé le fil, a mis cette personne sur écoute, a entendu qu'elle parlait du projet de loi et de l'association Animal Cross avec 2 autres personnes.
Ces 2 autres personnes ont rapidement été mises sur écoute.
Même s'il n'y avait aucun indice permettant de relier ces personnes aux menaces de mort commis envers Benoit Thomé, la police judiciaire a malgré tout suivi cette piste au maximum.
Elle a donc orienté son enquête sur la comunauté zoophile, et a rempli le dossier d'instruction avec des faits de zoophilie : telle personne a parlé de poneys avec telle personne au téléphone, par sms, tel et tel jour.
Le dossier d'instruction doit comporter plus de 2 000 pages, et contient un listing que la police judiciaire a cru avoir l'intelligence de nommer "liste des adeptes de la zoophilie".
Cette liste contient pas moins de 14 identités (nom, prénom, adresse, téléphone, photos, cartes grises, etc).
Aucune explication n'est donnée sur les critères qui ont mené la police judiciaire à inscrire des personnes dans cette liste. Il y a plusieurs noms que personne ne connait, et d'autres qui ne sont pas intéressées par la zoophilie, mais pour qui le sujet ne pose pas de problème. Nous pensons que le simple fait d'avoir entendu parler de zoophilie au téléphone ou par SMS a suffit pour être inscrit dans ce listing.
Même le fait de donner aux personnes un surnom d'animal ou assimilé a suffit à y être inscrit.
Durant les perquisitions de juin 2021, les téléphones et disques durs des personnes interpellées ont été saisis et analysés.
La juge d'instruction a nommé un expert pour analyser le matériel afin de rechercher des preuves concernant les menaces de mort (mots clef, fichiers pdf, etc)
Benoit Thomé, à travers son avocate Hélène Thouy, a demandé à la juge d'instruction d'étendre le champs des recherches sur tout ce qui concerne la zoophilie. Et la juge a accepté.
Par exemple, Benoit Thomé a demandé de rechercher le terme "Douglas Spink". On s'est toujours demandés en quoi la présence du nom "Douglas Spink" pouvait aider à identifier l'auteur des menaces de mort.
En fait, vous l'aurez deviné, Benoit Thomé cherchait juste à récupérer un maximum d'informations sur la communauté zoophile et à identifier le propriétaire de ce wiki.
Benoit Thomé a également demandé de vérifier la présence de fichiers zoophiles concernant des actes sexuels avec les personnes mises en cause et des animaux, qu'ils détiennent ou non.
Je vous passe le détail sur toutes les demandes qui ont été faites par Benoit Thomé, certaines ont été refusées par la juge d'instruction, mais la grande majorité, liées à la zoophilie, comme la recherche du terme "Douglas Spink", a été acceptée.
La pluspart des disques durs et téléphones ont été analysés, et l'expert technique a sorti un rapport de plusieurs centaines de page.
Il explique en détail les visites des forums zoophiles trouvés, des sites zoopornographiques, des échanges SMS traitant de la zoophilie.
Il a même versé au dossier d'instruction l'intégralité des échanges SMS, sans aucun filtre, entre 2 des mis en cause durant 12 mois.
Il doit y avoir des centaines, si ce n'est un millier, de SMS. Toute la vie privée et familiale de ces 2 personnes a été versée au dossier, leurs sorties, week end, passion, leur problème de santé, etc. Toute leur vie est présente, ces 2 personnes étant amis depuis près de 20 ans.
Bien sûr, aucune preuve de la commission des menaces de mort n'a été trouvée dans ce rapport de 200 pages.
Enfin si, une image, d'un islamiste criant, le poing levé vers le ciel. Célèbre "mème" sur Internet, et qui a été utilisé dans une des menaces de mort.
C'est un peu comme utiliser une photo de Perceval et Karadoc : ce n'est pas parce que vous avez des photos sur votre disque dur que vous avez commis les menaces de mort.
L'expert technique n'a pas réussi à déchiffrer 2 téléphones et 3 disques durs, au motif qu'ils étaient cruptés, et suggérait dans son rapport de demander l'aide à une section spécialisée dans le déchiffrement des données : le CTA (https://www.dgsi.interieur.gouv.fr/decouvrir-la-dgsi/nos-missions/missions-techniques-specialisees/cryptage-codes-secrets-mots-de).
On arrive maintenant à la partie intéressante de cette histoire.
La justice a très bien compris, après une instruction de 2 ans, des perquisitions, des auditions, des analyses de matériel, que les personnes mises en cause, même si elles sont intéressées par la zoophilie, n'ont RIEN A VOIR dans les menaces de mort faites envers Benoit Thomé.
C'est donc naturellement qu'elle a ordonné la resitution du matériel saisi à leurs propriétaires en juin 2022.
Elle a même (et surtout) accepté la restitution du matériel crypté qui n'avait pas été décrypté par l'expert (Si ça ce n'est pas la preuve que la justice a bien compris que ces personnes étaient innocentes !)
On pourrait se dire "oui, cool, enfin la justice a compris, le matériel va être rendu, aucune condamnation, on attend le non-lieu, y a rien eu concernant la zoophilie, l'histoire est finie".
Mais c'était sans compter la protection animale.
Et c'est là que nous avons compris qu'il n'y avait plus aucun doute sur la réelle motivation de Benoit Thomé.
Dans un courrier daté du 31 mai 2022 (il y a donc quelques mois), Hélène Thouy fait plusieurs demandes d'actes et remarques à la juge d'instruction. Et là, elle sort le grand jeu.
N'oubliez pas, en lisant ce qui suit, que la justice a très bien compris à qui elle avait à faire.
Hélène Thouy explique que son client, Benoit Thomé, a plusieurs demandes (on ne sait pas réellement si les demandes viennent de Hélène Thouy ou de Benoit Thomé).
Parmis ces demandes, la protection animale solicite la juge d'instruction pour qu'elle demande au Procureur de la République d'étendre le champs de l'instruction pour rechercher la commission de sévices de naturel sexuelle (on va dire zoophilie pour faire simple). Il aura donc fallu du temps, mais Benoit Thomé prouve ici même, via cette demande, que les menaces de mort ne sont qu'un prétexte pour récupérer un maximum d'informations sur la communauté zoophile.
Cette demande est basée sur la présence du listing des 14 personnes présentées comme "adeptes de la zoophilie", mais que la protection animale utilise en disant que des faits de zoophilie ont été commis, comme le prouve ce listing.
Alors que personne ne sait comment ce listing a été construit, et la grande majorité des personnes que l'on connait n'est pas pratiquante...
(L'utilisation de ce listing n'est qu'un prétexte, vous l'aurez compris. Benoit Thomé a déjà menti à plusieurs reprises à la police judiciaire pour lui forcer la main à enquêter.)
Cela démontre l'élément le plus important de cet article que vous êtes en train de lire : Benoit Thomé (et la protection animale) n'a que faire de la vérité. Ils sortent des mensonges, en sachant que personne va aller vérifier la véracité des propos d'une personne qui a fait l'objet de menaces de mort sur un contexte de haine islamique.
Parce que la justice est faite comme ça, ça serait politiquement incorrect de remettre sa parole en doute.
L'illustration la plus grave réside dans une audition de Benoit Thomé faite fin 2021.
Il explique pourquoi il est certain qu'une des personnes interpellée a commis les menaces de mort : "cette personne a acheté le livre de l'association Animal Cross, dont une page a été scannée et utilisée dans les menaces de mort".
Benoit Thomé a fournit à la justice, plusieurs mois plus tôt, la liste de TOUTES les personnes qui avaient acquis ce livre (de façon gratuite ou payante).
En passant, Benoit Thomé a donc fournit à des personnes qu'il suspecte être zoophiles des centaines et des centaines de données personnelles, nominatives (nom, prénom, adresse, téléphone ...)
Le nom de la personne, que Benoit Thomé présente comme le coupable, ne figure PAS dans cette liste des acquéreurs de son livre...
Pire encore, la police judiciaire, lors de la perquisition chez la personne citée par Benoit Thomé, ont pris soin de noter et de photographier tous les ouvrages liés à la zoophilie ou à la protection animale, et ce livre de l'association ne figure pas dans l'inventaire !
Mais Benoit Thomé ne se démonte pas, et plusieurs mois après, il persiste et signe dans son mensonge, que personne n'ira vérifier.
Pourquoi ce mensonge ? Parce que Benoit Thomé est persuadé que cette personne est la personne responsable de ce wiki et de l'ancien forum Zoolibre. Il le dira à plusieurs reprises dans ses auditions.
Les coordonnées de la personne que Benoit Thomé a diffusé via l'article "portrait d'un zoophile" sont celles de cette personne, que Benoit Thomé a accusé d'avoir acheté son livre.
Cela rappelle l'article publié à propos des interpellations, où Benoit Thomé explique que cela prouve que les zoophiles sont des personnes dangereuses, je le cite : "quand on voit ce que ces personnes sont prêtes à faire endurer à des êtres humains, on imagine aisément ce qu'ils peuvent faire envers des animaux".
Après 2 ans d'enquêtes, la justice n'a rien réussi à démontrer : ni violence envers les personnes, ni envers les animaux. Normal, il n'y a rien à montrer ...
Et la suite donc ?
Il est facile de comprendre ce qu'il va se passer par la suite.
La juge d'instruction a ordonné la restitution du matériel saisi, mais Benoit Thomé a fait appel de cette décision. Il souhaite avoir le maximum d'informations sur la communauté zoophile, et il est persuadé que les disques durs cryptés (appartenant à la personne qu'il est persuadé être responsable de ce wiki et de Zoolibre) contiennent une mine d'or (il pense trouver des milliers de coordonnées de zoophiles en activité).
L'audience pour statuer sur son appel aura lieu le vendredi 16 décembre prochain.
L'issu de cet appel ne fait aucun doute : la justice va rejeter la demande de Benoit Thomé, ayant compris que les personnes sont innocentes des faits reprochés.
Une fois l'appel rejeté, Benoit Thomé n'aura plus aucun recours judiciaire contre la communauté zoophile, et c'est là qu'il va se lancer dans son entreprise de démolition.
Ce que l'on sait : il se fout royalement de la vérité et n'hésite pas à mentir pour arriver à son but.
Comme toute association de protection animale, Animal Cross doit se mettre en avant afin d'obtenir le plus de dons possibles.
Animal Cross publiera donc assez rapidement (il est même surement déjà écrit) un article intitulé "Animal Cross révèle la plus grande communauté zoophile française".
Elle ne va pas s'ennuyer avec les faits ou les conclusions judiciaires, et elle continuera : "Menacée de mort par la communauté zoophile à cause de son combat contre la zoophilie, Benoit Thomé a su orienter les enquêteurs vers la plus grande communauté zoophile en activité aujourd'hui".
Hélas, elle n'aura pas grand chose à dire de plus, alors elle devra broder.
Nul doute que Hélène Thouy lui aura fourni des informations présentes dans le dossier d'instruction, même si elle n'en a pas le droit, pour alimenter son article.
Benoit Thomé sait que les mis en cause n'auront pas peur de porter plainte si ils se sentent menacés. Il devra donc contourner la loi.
Au lieu de faire l'erreur de donner des noms et des adresses, comme en octobre 2021, qui lui a valu une plainte, nul doute qu'il donnera des informations "impersonnelles" mais qui, mises bout à bout, permettront d'identifier les personnes présentes dans le dossier d'instruction.
Par exemple si il dit "une personne qui travail en tant que soigneur dans le département 84 et qui travail avec le zoo de Nice est mis en cause pour zoophilie sur des tigres", alors les personnes du métiers pourront la trouver.
Et c'est là que réside notre crainte la plus grande, parce que Benoit Thomé est un extrémiste (il a déclaré dans une de ses auditions qu'il y avait un sens pour lui et sa femme de donner sa vie pour les animaux) et il est donc prêt à tout pour faire justice lui même.
Il ne croit pas en la justice, il l'a déjà mentionné dans un reportage diffusé sur France 3 :
La dernière vidéo est très intéressante, parce qu'elle transpire de haine à l'égard de la communauté zoophile, et on comprend bien que Benoit Thomé est prêt à tout pour arriver à ses fins.
Le bien être des animaux ne l'intéresse pas.
Il explique à la justice que la personne, dont il a diffusé les coordonnées, est zoophile et pratiquant.
Mais cette personne a désespérement, durant l'année écoulée, de rentrer en contact avec Animal Cross et Hélène Thouy.
Elle a invité officiellement ces personnes à venir constater l'état de santé et les soins de ses animaux.
Pour le moment, toutes ses invitations (lettres recommandées, emails, etc) sont restées lettre mortes.
Si Benoit Thomé est persuadé que cette personne est zoophile, pourquoi ne pas déléguer une personne pour aller à son domicile examiner les animaux ? Cette personne s'est même engager à payer les examins vétérinaires nécessaires...
Cette personne, dont Benoit Thomé a diffusé les coordonnées, et qui a portée plainte contre lui, ne cesse depuis plusieurs semaines d'alerter la justice pour qu'elle fasse comprendre à Benoit Thomé qu'il ne peut pas se faire justice lui même et qu'il n'a pas le droit de diffamer des personnes alors que la justice ne les a pas poursuivies.
Cette personne doit d'ailleurs porter plainte pour harcèlement contre Benoit Thomé, en se basant sur tous les mensonges présents dans la procédure.
Elle avait déjà demandé à la juge d'instruction une confrontation avec Benoit Thomé pour éclaircir ces différents mensonges, mais la juge l'a refusée au motif que cela ne permettait pas de faire éclater la vérité sur les menaces de mort.
Nous sommes face à un mur. Même si la justice sait que la communauté zoophile n'a pas commis ces menaces de mort, elle a un dégout et un mépris pour ces personnes, et n'a jamais accédé à une seule des requêtes déposées.
Il y a fort à parier qu'elle ne fasse rien de façon préventive afin de couper l'élan à Benoit Thomé.
Rdv ici même dans plusieurs semaines / mois afin de voir si notre intuition est la bonne. Mais hélas nous pensons à contre coeur que nous aurons raison.