CHARBEL A. pense que le passage de la Genèse 2:18.20 est une condamnation implicite de la bestialité, pratique courante chez les voisins d'Israël (Cananéens et Égyptiens)[1] . Cette "perversion" est condamnée par Ex. 22:18 et Lv. 18:23 et 20:15-16.

Notes

  1. (it) A. CHABREL, "Gen. 2, 18.20: Una polemica sottintesa dello Jahvista", dans Bibbia e Oriente Fossano, vol. 22, n° 4, 1980, p. 233-235.