Chine impériale

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Certains éléments du puritanisme dans la tradition chinoise se distinguent très clairement du même phénomène intellectuel en occident. Pour les néo-confusiens, les préoccupations clefs concernent plutôt les notions d'ordre et de désordre, d'harmonie ou de disharmonie au sein de la société et pour un individu que la question du péché et de la pureté de la moralité des individus. L'idée de chasteté est impliquée de manière contrastée entre les deux concepts de pureté et de pollution. Les contacts sexuels avec les animaux apparaissant dans l'ordre des pollutions.

« In contrast, adultery of a woman with a dog is mentioned by Pu Songling as an extreme case of profligacy and immoral pollution, rather than a perversion such as bestiality: “Human beings are not beasts, but can really become beasts. Polluted by such horrible adultery, his or her flesh would not be eaten even by jackals and tigers. »[1]


Source

Paolo Santangelo, « An Attempt at a History of Mentality in Late Imperial China », Front. Hist. China, 2010, 5(3): 386–424 DOI 10.1007/s11462-010-0103-y


Notes

  1. Liaozhai zhiyi 聊斋志异 (Strange tales of Liaozhai), 1:50, “Quanjian” 犬奸.