Communiqué à destination de la police et justice

De AnimalZooFrance
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Communiqué à destination de la police / justice française

Madame, Monsieur,
Ce site, ainsi que les personnes qui y participent, font l'objet d'un harcèlement permanent de la part de l'association Animal Cross et en particulier de son président, Benoit Thomé.
En 2020 et en 2021, Benoit Thomé a réçu plusieurs menaces de mort qu'il a attribué à la communauté zoophile.
Suite à ces menaces de mort, une instruction à été ouverte en février 2021 au tribunal de Pau, qui a abouti à un non-lieu en décembre 2023.

En Septembre 2021, Benoit Thomé a diffusé les coordonnées d'un personne présentée comme étant zoophile sur le site internet de son association.
La personne visée avait déposé plainte, et un premier procès s'est tenu au tribunal de Pau en avril 2023, durant lequel Benoit Thomé niait tout implication dans la diffusion de ces coordonnées.
Après une demande d'informations complémentaire de la part du Président du tribunal, un second procès a eu lieu début janvier 2024, durant lequel Benoit Thomé a finalement admit être à l'origine de cette diffusion.
Il a expliqué ses agissements : il voulait que la personne visée se sente "cernée", et cesse ses activités zoophiles. Activités qui n'ont jamais été démontrées, pour la simple raison qu'elles n'existent que dans la tête de Benoit Thomé : Ce n'est pas parce qu'une personne défend une certaine forme de sexualité qu'elle pratique cette sexualité. Bon nombre de personnes défendent le droit des homosexuels sans être homosexuels.

Lors de son procès, Benoit Thomé a expliqué qu'une instruction était en cours pour atteintes sexuelles sur animaux, et qu'il avait déposé plusieurs plaintes contre le site AnimalZooFrance.com

Concernant les plaintes pour atteintes sexuelles, il s'agit de pure diffamation: L'objectif de Benoit Thomé est simple : il s'agit d'attaquer avec un maximum de plaintes pour obtenir une saisie préventive des animaux de la personne qu'il harcèle, depuis maintenant plusieurs années.
Peut importe si ses plaintes se basent sur de faux arguments, peut importe les retombées sur sa personne ou son association, c'est un fanatique, et il fera tout pour arriver à ses fins : faire retirer les animaux de la personne visée.
L'objectif est clairement d'obtenir une saisie préventive des animaux : une fois placés en famille d'accueil, il ne sera plus possible de les récupérer avant la durée de la procédure, qui est très long en rapport à l'espérance de vie d'un animal. Une saisie préventive d'un animal signifie donc un adieu, même si le classement sans suite de la procédure est acquis.
Benoit Thomé a des contacts chez certains Procureur acquis par la protection animale, comme vu lors de la conférence 1Health à Paris en Mai 2023.
Pour éviter une saisie préventive, la personne mise en cause par Benoit Thomé a invité, et ce à plusieurs reprises, l'association Animal Cross, ou tout association mandatée par ses soins, de venir constater l'état de santé et les soins aux animaux. Elle s'est engagé à payer les frais inhérents aux examens cliniques des animaux.
A ce jour, et malgré plusieurs relances auprès de Benoit Thomé ou de son avocate, Hélène Thouy, par email, LRAR, aucune réponse n'a été apportée à ces invitations.
Benoit Thomé sait très bien qu'aucune atteinte sexuelle n'a lieu et que les animaux sont bien traités, c'est pourquoi il fait la sourde oreille quant à ces multiples invitations.
Il ne souhaite qu'une chose, et ce n'est pas le bien être des animaux : il souhaite juste que ces animaux soient enlevés à leur propriétaire.

Concernant les plaintes contre AnimalZooFrance, encore une fois, elles se basent sur de faux arguments.
Lors de son procès, Benoit Thomé a déclaré que "ce site est illégal"'. Pourtant, à ce jour, aucun juge n'a déclaré ce site comme étant illégal.
Benoit Thomé a également avancé qu'AnimalZooFrance diffuserait des menaces de mort à son encontre : un rapide tour des différentes pages permet rapidement de voir que c'est faux.
Ce site essaie au maximum de respecter la législation en vigueur :

  • il n'y a pas de pornographie
  • il n'y a pas d'incitation à commettre le délit d'atteintes sexuelles sur animaux, c'est même le contraire, l'article sur lequel se base Benoit Thomé pour porter plainte est une interview d'une personne fictive, qui mentionne :
Parfois je me dis "bien heureux les simples d'esprit".
C'est pourquoi je me refuse à tout racolage, à tout encouragement de la zoophilie.
Aucun prosélytisme n'est toléré dans nos rangs : être zoophile, c'est avoir une vie "à part".
Et les conséquences sont trop importantes pour encourager des personnes dans cette voie là.

Dans les différentes déclarations de Benoit Thomém on peut trouver ces extraits : Dans la procédure ouverte pour identifier l'auteur des menaces de mort qu'il a reçu : dans ses différentes audition, il charge au maximum la personne dont il a dévoilé l'identité sur le site internet de son association en septembre 2021.
Il explique que cette personne a acheté un livre dont une page a servi à faire des menaces de mort, mais dans le listing des personnes ayant acquis cet ouvrage, le nom de cette personne n'y est pas.
Il explique également que cette personne est une personne violente, ce qui n'est pas le cas, cette personne n'a jamais eu de soucis avec ni la police ni la justice et n'a jamais fait l'objet de condamnation.
Il explique dans une interview au journal Libération (voir l'article) que la personne visée fait parti d'un "groupuscule zoophile" et que ce groupuscule est à l'origine des menaces de mort qu'il a reçu. Le non-lieu prouve le contraire.
Dans une interview diffusée sur France 3 fin 2021, il explique ce qu'il pense de la police et de la justice :



Toutes ces raisons doivent vous pousser à exclure toute demande de saisie à titre préventive des animaux des personnes visées par Benoit Thomé.