Losing Your Virginity… To A Horse? Zoophile Explains Why Bestiality Isn't A Perversion

De AnimalZooFrance
Aller à la navigation Aller à la recherche

Texte original

Losing Your Virginity… To A Horse? Zoophile Explains Why Bestiality Isn't A Perversion


For as long as man has domesticated animals, he’s also - bestiality and animal sex crimes.pdf been having sex with them. In fact, in Ancient Rome bestiality was so openly practiced it was actually considered quite normal. Today, bestiality is no less popular, but those who enjoy sexual relations with animals are forced to conduct their activities discretely. Recently, one self-professed zoophile shared his story in an exclusive interview with New York Magazine and gave all a glimpse into this taboo world.

Most in the zoophilia community, or "zoos" as they refer to themselves, form long-term, loving, and monogamous relationships with their animal partners. One such animal lover explained that like other sexual preferences, his desire for animals began in childhood.

"I started to notice horses in 'that' way when I was about 11 or 12. Everybody else was stealing their dads’ Playboy magazines, but I had a book called The Big Book of the Horse," the man who choose to remain anonymous explained to NY Mag. His love for horses soon escalated, and at 22 he finally fulfilled his fantasy and lost his virginity to a horse.

"Losing your virginity is important to becoming a 'real' zoophile because you’re joining a very select group of people, and if you haven’t actually 'done it,' people wonder if that’s your real sexuality," he said.

The zooophile has been married to a human woman for 19 years, and they are in an open, polygamous relationship. He has sexual relations with his mare partner about once a week. Although the 42-year-old has penetrated his equine partners before, he admits, for him, this isn’t the norm.

"I mostly have oral sex with mares. And, as I discovered, mares taste very, very nice, like mown grass or fresh hay, and they really enjoy oral stimulation."

The relationship is explained as being not only sexual but also very loving. The man emphasizes that he never uses any form of restraint.

"So, she she chooses to come with me, and I leave her food and she puts her head on my chest and we snuggle, and I whisper sweet nothings in her ear and rub her cheeks — what she likes," he said.

In a 1948 book, Sexual Behavior in the American Male, the authors found that around half of all "farm-bred males" claimed to have had sexual contact with various other species, Scientific American reported. Although, in the vast majority of these cases the males used the animals as "substitutes for heterosexual relations with human females," researchers have observed that some people actually prefer the company of animals to humans. Whether or not this choice is a type of minority sexual identity is still debatable.

Hani Miletski, a sexologist, interviewed 93 self-identified zoophiles (82 men and 11 women) for her book, Understanding Bestiality and Zoophilia, and contradicted the old DSM-4 edition, which classified zoophilia as a psychological disorder; Miletski argued it was a sexual identity. (Even the most recent DSM-5 classifies it as sexual paraphilia.) The old DSM-4 said it was considered a psychological disorder only if an individual’s sexual attraction to nonhumans caused the person distress. However, Miletski found that most of those she interviewed were quite well-adjusted to their lifestyle and had no reason to stop having sex with their animal partners.

Regardless of whether or not you believe that zoophilia is a sexual orientation or an act of depravity, according to The Animal Legal Defense Fund, the sexual assault of an animal is directly prohibited in 36 U.S. states, as well as most of Europe. For states that have not directly prohibited the sexual assault of an animal, there is usually some reference to beastiality included in other sexual laws. Unfortunately, as reported by The Independent, this crackdown on illegal bestiality has led to an increase in underground animal sex tourism. Still, the zoophile expressed his desire for public acceptance of his sexual preference.

"Sex with animals is just so poorly studied. The popular image of that person on the farm who goes and abuses animals because there’s no other outlet, that’s not the case. That’s just not always what happens."


Traduction

Perdre sa virginité... avec un cheval ? Un zoophile explique pourquoi la bestialité n'est pas une perversion [1]


Depuis que l'homme domestique des animaux, il a toujours eu des rapports sexuels avec eux. En fait, dans la Rome antique, la bestialité était pratiquée si ouvertement qu'elle était considéré comme normale. De nos jours, la bestialité est encore aussi populaire, mais ceux qui la pratique sont forcés de se faire discrets. Récemment, un pratiquant a partagé sont histoire dans une interview exclusive avec le New York Magazine et a donné un aperçu de ce monde tabou.

Beaucoup parmi les zoophiles, ou « zoos » comme ils disent, ont des relations durables et monogames avec leurs partenaires animaux. L'un de ces amoureux des animaux a expliqué que comme beaucoup de préférences sexuelles, son attirance a commencé dès son enfance.

« J'ai commencé à considérer les chevaux de « cette » manière quand j'avais environ 11 ou 12 ans. Tous les adolescents volaient les playboys de leurs pères, mais j'avais un livre appelé « Le grand livre des chevaux », dit l'homme qui a choisit de rester anonyme pour se confier au NY Mag. Son amour pour les chevaux a grandit et il a finalement perdu sa virginité avec une jument à l'âge de 22 ans.

« Perdre sa virginité est important pour devenir un « vrai » zoophile car c'est rejoindre un groupe très restreint, et si on ne l'a pas fait, les gens se posent des question quant à votre véritable orientation sexuelle », dit-il.

Ce zoophile est marié avec une femme depuis 19 ans, et ils entretiennent une relation polygame. Il a des rapports sexuels avec sa moitié jument une fois par semaine. Même si il a pénétré sa partenaire équine avant, le quadragénaire admet que même pour lui, ce n'est pas dans la norme de faire ça.

« J'ai principalement des rapports oraux avec les juments. Et, comme je 'ai découvert, elles ont un très bon goût, comme du foin ou de l'herbe fraîche, et elles aiment vraiment les stimulations orales. »

La relation est décrite comme n'étant pas exclusivement sexuelle, mais aussi amoureuse. L'homme affirme qu'il n'a jamais utilisé une quelconque forme de restriction.

« Donc, elle choisit de venir avec moi, j'ai laisser son repas, puis elle a mis sa tête sur ma poitrine, nous nous sommes câliner et je lui ai murmurer des mots doux à l'oreille et lui ai gratter la joue – ce qu'elle apprécie. », dit-il.

Dans le livre « Pratiques sexuelles des hommes Américains » qui date de 1948, l'auteur découvre qu'environ la moitié des « garçons de ferme » affirment avoir des contacts sexuelles avec beaucoup d'autres espèces. Bien que dans la vaste majorité des cas les animaux soient utilisés comme des « substitues aux relations sexuelles avec des humaines », des chercheurs ont remarquer que certaines personnes préfèrent vraiment la compagnie animale à celle humaine. Que ce soit le cas ou non, ce choix est une identité sexuelle minoritaire toujours soumise à débat.

Hani Miletski, un sexologue, a interviewé 93 personnes se considérant comme zoophiles (82 hommes et 11 femmes) pour son livre « Comprendre la bestialité et la zoophilie » et a contredit la vieille édition de DSM-4 qui classifiait la zoophilie comme une pathologie mentale ; Miletski arguait qu'il s'agit bien d'une orientation sexuelle (même le plus récent DSM-5 classifie la zoophilie comme étant une paraphilie). Le vieux DSM-4 disait que la zoophilie était considérée comme une pathologie mentale seulement si l'attraction d'un individu pour les non-humains lui causait une certaine forme de détresse. Par ailleurs, Miletski a découvert que la plupart de ceux qu'elle a interviewé ont une vie parfaitement rangée et n'ont aucune raison d'arrêter d'avoir des rapports sexuels avec leurs compagnons.

Sans prendre en compte si vous considérez la zoophilie comme une orientation sexuelle ou un acte de dépravation, l'acte sexuel avec un animal est interdit dans 36 états des USA et dans presque toute l'Europe, si l'on en croit la « Fondation pour la défense juridique des animaux ». Pour les états qui n'ont pas directement interdit les rapports sexuels avec les animaux, il y a des références à la zoophilie pour les autres lois qui réglementent les actes sexuels. Malheureusement, comme l'a rapporté « The independent », cette mode de prohibition de la bestialité a mené à une explosion du tourisme sexuel animalier. Toujours est-il que le zoophile exprime son désir de l'acceptation publique de sa sexualité.

« Les rapports avec les animaux sont si pauvrement étudiés. L'image populaire de cette personne qui va dans une ferme et abuse des animaux car il n'a pas d'autre options n'existe pas. Ce n'est juste pas comme cela que ça se passe. »


Source

http://www.medicaldaily.com/losing-your-virginity-horse-zoophile-explains-why-bestiality-isnt-perversion-311966

Notes

  1. Traduction de Katnip.